lunes, 4 de abril de 2011

Narcotráfico

La mafia o el narcotráfico no son, a pesar de como se nos intenta hacer creer, algo al margen del capitalismo, tampoco un 'error' de este o, dicho de otra manera, un 'hijo bastardo', son causa directa de este.

lunes, 21 de marzo de 2011

identidad

Después de un tiempo desaparecido, vuelvo a la carga con un artículo extraído de un blog. Está en francés, pero yo creo que es fácil de comprender.


"Les « populations autochtones » – dites parfois « indigènes » ou « tribales » – représentent à l’heure actuelle environ 350 millions d’hommes répartis entre plus de 5000 ethnies. L’actualité les évoque parfois, qu’il s’agisse des Inuits du Canada, des Bushmen du Kalahari, des Papous de Nouvelle-Guinée, des Batwa (Pygmées) d’Afrique centrale, des Aborigènes d’Australie, des Yanomanis du Brésil et du Venezuela, des Nambikwara du Matto Grosso, des Naga de Birmanie, des Iakoutes de Sibérie, des Touaregs d’Algérie et du Maroc, des Masaï du Kenya, des Hmong du Vietnam, des Aïnous du Japon, des Karens de Birmanie, des Penan de Bornéo, des Saami de l’extrême nord européen, des Amérindiens de Guyane. Bien décrite par un Jean Malaurie, un Lucien Bodard ou un Jean Raspail, dans une tradition qui va de Montaigne à Lévi-Strauss, leur condition est dans le meilleur des cas celle de minorités ethniques et culturelles. Mais avec une tendance lourde : vingt à trente langues ou dialectes disparaissent chaque année.

Tout peuple est par définition menacé. Ceux-là le sont d’une manière particulière : ils ont été victimes du plus fondamental « choc des civilisations » de l’histoire, le choc avec le modèle occidental. Au fils des siècles, ils ont été successivement victimes du paternalisme des missionnaires, du feu des militaires et de l’intérêt des marchands. Depuis 2000 ans, l’Occident n’a jamais cessé de vouloir convertir, assimiler, imposer. Il a violé les âmes, dépossédé les communautés de leurs terres, colonisé leur imaginaire, détruit leur système de croyances. Il l’a fait parce qu’il croyait invariablement que ce qu’il apportait était ce qu’il y avait de meilleur, et qu’il en était la meilleure incarnation possible. On a ainsi procédé au saccage des milieux naturels, des traditions locales et des savoirs enracinés. L’occupation des terres, la déforestation, la pollution, les maladies, l’alcool et la télévision ont fait le reste.

Ce n’est ni le romantisme ni le goût de l’exotisme qui conduit à s’intéresser à ces peuples, et moins encore une conception de la vie qui conduirait à ne plus s’attacher à son bien propre. C’est bien plutôt la claire conscience que, dans une vision traditionnelle du monde, il n’y a jamais de séparation totale entre les êtres : seule le principe d’une commune appartenance peut fonder l’harmonie « cosmique ».

Deux attitudes opposées menacent ce principe : la xénophobie et l’universalisme. D’un côté, ceux qui se font gloire de ne s’intéresser qu’aux leurs ou à eux-mêmes (c’est le principe même de l’individualisme), de l’autre, ceux qui ne s’intéressent à tous les hommes que l’idée de leur indistinction. Quand l’amour des siens devient prétexte pour rabaisser ou nier les qualités des autres, ou refus de reconnaître ce qu’ils peuvent avoir à nous apprendre, la xénophobie domine : on se donne alors le droit de supprimer les autres. Mais l’universalisme menace lui aussi la vie humaine, car il ne garantit de libertés et de droits qu’aux convertis, à ceux qui ont accepté de se conformer au modèle dominant. Il exige de l’Autre qu’il cesse d’être Autre, car en lui il ne veut reconnaître que le Même. Or, le fait naturel de l’altérité ne doit conduire ni à la négation ni à l’assimilation, mais à la reconnaissance et à la réciprocité. Les cultures sont des ensembles cohérents par eux-mêmes, mais ce ne sont pas des planètes séparées. L’Un et le Multiple doivent donc être saisis ensemble, d’un même mouvement. L’altérité est toujours un bien positif face à l’idéologie du Même.

Historiquement, c’est dans la Bible qu’apparaît, non pas seulement le droit moral de tuer, mais le devoir de massacrer certains peuples. C’est au nom de Yahvé que des populations entières ont été vouées à l’anathème (hérem), c’est-à-dire exterminées, anéanties corps et biens (Deut. 20,13) ; Josué 6,17). Pour la première fois, l’altérité fut alors désignée comme le danger, comme le mal. Or, le seul moyen de vaincre le mal, c’est d’en extirper jusqu’aux racines. A l’origine, le précepte du Décalogue : « Tu ne tueras pas » signifie seulement : tu ne tueras pas les tiens, ou bien : tu ne tueras pas en dehors des cas où il est prescrit de tuer !

L’ethnocide n’est pas toujours brutal. Il y a même bien des façons pour un peuple d’être dépossédé de lui-même : la domination politique, l’immigration incontrôlée, l’hégémonie culturelle, l’assimilation. Les Vendéens le furent en leur temps différemment des Sioux et des Iroquois. Aujourd’hui, les Yanomanis ou les Indiens du Chiapas sont menacés à leur manière, les Berbères et les Tibétains aussi, les Palestiniens également.

Mais il y a encore une autre raison de s’intéresser aux peuples menacés. C’est que ces peuples ont souvent su maintenir ce que nous avons connu nous-mêmes, mais que nous n’avons pas été capables de conserver. C’est chez eux que subsiste une vision cosmique et holiste du monde, où les notions de tradition, de communauté et de clan n’ont pas encore perdu leur sens. L’éthique de l’honneur, le système vindicatoire, les groupes de lignages, le sens de l’hospitalité, les épreuves initiatiques et les rites de passage, relèvent de cette vision du monde. Un monde où la terre est sacrée, où la parole engage plus que l’écrit, où les animaux sont nos frères, où ce qui a de la valeur ne peut s’acheter ni se vendre. « Que l’idée nous plaise ou non, écrit Teddy Goldsmith, les peuples vernaculaires détiennent une véritable sagesse dans leur rapport au cosmos ». Il y a plus de véritable socialité organique sur le moindre marché africain que dans n’importe quel supermarché occidental, qui n’est que le reflet du nihilisme contemporain.

La Genèse prétend qu’au commencement, « tout le monde se servait d’une même langue et des mêmes mots » (Gen. 11,1). C’est encore un mensonge. L’humanité a toujours été plurielle. Mais c’est précisément cette diversité qui est aujourd’hui menacée. La destruction exponentielle du monde par une société en proie à l’obsession du « développement » résulte d’une perspective dans laquelle le « progrès » se définit comme une lutte contre la nature, oubliant que les systèmes naturels tendent à maintenir l’ordre des ensembles dont ils font partie. Avec la globalisation, il semble n’y avoir plus de place dans le monde que pour un seul monde. Mais la globalisation suscite le renouveau identitaire comme l’exil stimule le désir de patrie. « Vivre comme l’autre de l’autre, dit Hans-Georg Gadamer, cette tâche humaine fondamentale vaut à une échelle infime comme à une échelle supérieure ». La biodiversité commence avec la diversité humaine, c’est-à-dire la sociodiversité.

Les peuples menacés ne sont pas des « bons sauvages ». Ils ne sont pas non plus des peuples fossiles, « arriérés » ou « primitifs », des témoins d’un stade dépassé de l’histoire, mais des peuples qui possèdent des cultures distinctes et des manières différentes d’être au monde qui, en tant que telles, sont aussi porteuses d’avenir. C’est pour cela que nous avons besoin d’eux. Ils essaient de survivre au moment où nous croyons vivre, alors que pour tout ce qui est important nous sommes devenus plus pauvres qu’eux."

Robert de Herte (Eléments, juillet 2003)

miércoles, 9 de marzo de 2011

¿república o monarquía?

'En España existe un guirigay absurdo en torno a la forma de gobierno. Se polarizan las fuerzas políticas sobre esos dos conceptos de Monarquía o República, sin sospechar que ambos perdieron hace muchos años su vigencia como mitos creadores. Esa cuestión del régimen es algo que debió liquidarse de modo definitivo hace veinticinco o treinta años.'

Son palabras de 1931, quien iba a decir que tuviesen esta vigencia.

Globalización: dictadura global

El fenómeno de la globalización, tan en boca de todos y de todas en las últimas décadas, no es algo que ataña únicamente a cuestiones de índole económica, no olvidemos que cuando hablamos de globalización hablamos también de un fenómeno cultural.

Y, con ‘globalización cultural’ podríamos pensar perfectamente que, gracias a esto, se pondrán a nuestro alcance culturas para nosotros antes desconocidas. Nada más lejos de la realidad, a pesar de que aparentemente se nos permite ese ‘lujo’, como ya sabemos, el capitalismo es una de cal y cinco de arena. Y no, al contrario de lo que podáis imaginar, no me he equivocado ni en el refrán, ni en la mezcla.

La misión de la globalización cultural no es otra que la de homogeneizar a la humanidad, suprimir nuestras identidades nacionales y la diversidad cultural mundial, en definitiva, hacer de nosotros un solo ente para que así, su control, sea más sencillo y eficaz.

Reducen nuestra cultura a mero ‘folclore’, a clichés superficiales, véase el ‘olé’, el ‘que salaos somos los españoles’, los ‘trajes típicos’, a la vez que nos atacan (y nos dejamos atacar) por fuerzas extranjerizantes que nos inducen a la confusión, provocando una densa niebla que nos impide ver quienes somos y donde estamos. En consecuencia, esto supone una barrera para que nosotros como nación nos autorrealicemos ya que somos un ente desorientado, que no es capaz de ahondar en lo más profundo de su ser y pierde su proyección histórica. Son las naciones las que hacen las revoluciones y, por lo tanto, son estas a quien el capital desea suprimir. A cambio, nos ofrecen un ‘patriotismo infecundo y vano: el orientado hacia el pasado’, ya que el ‘fuerte y activo, orientado hacia el porvenir’ es perjudicial para ellos.


A pesar de que debemos apelar a la solidaridad internacional, no debemos olvidar que solo la propia nación sabe como ha de ser su revolución. Esta no consistirá en subvertir el orden económico únicamente, más o menos similar en gran parte del mundo, si no responder a unas reivindicaciones culturales propias a la nación y ante las cuales no valen soluciones externas. A la cuestión española, solo un español puede darle solución, pues está no estará presente en nadie que no haya crecido y vivido aquí.

Yo no estoy haciendo apología de la discriminación hacia ninguna persona por proceder de aquí o allí, simplemente a la necesidad de hacer la revolución nacional, ya que será la única que satisfará todas las demandas de una nación. De igual manera que un pueblo bosquimano tiene su idiosincrasia, su forma de vida y su propia fórmula para la resolución de sus problemas, el español también.

En definitiva, la globalización cultural responde a la necesidad de hacer efectiva la globalización política y económica, enarbolada por el sistema capitalista que es, a fin de cuentas, el único beneficiado.

martes, 8 de marzo de 2011

Juventud

España está necesitada de una juventud vigorosa, subversiva, revolucionaria y nacional. Es por ello necesario llevar a cabo medidas de fomento de la natalidad, no solo por cuestiones estructurales, si no para proveer a nuestro país de la fuerza vital necesaria para materializar los cambios sociales, políticos y económicos de los que se encuentra ávido.


lunes, 7 de marzo de 2011

8 de marzo

Otro año más, la patraña del día de la mujer. Pero, debemos preguntarnos ¿qué mujer?

La respuesta está más que clara, hoy es el día de la mujer burguesa. Un sistema cuya seña de identidad es la desigualdad, no me va hacer creer que lucha por los derechos de ningún sexo, persona o animal.

Por este camino ¿qué vamos a conseguir? Nada, si acaso otra Maggie, una Lucía Gómez en lugar de un Emilio Botín, un coño en la Casa Blanca, la Moncloa o Downey Street, ¿y? ¿Una mujer va a dejar de seguir las directrices del capital por el hecho de ser de otro sexo?

No me confunda el lector, yo soy el primero que trata a las hembras igual que a los machos, por hablar de sexos y no de géneros, pero las 'conquistas' de este tipo sin una revolución social total no sirven de nada y eso es lo que es el Día de la Mujer Trabajadora, una 'conquista', pero no es nuestra ni a nuestro favor.

A los machos y hembras que no se sientan identificados con este sistema, les invito a que demuesren esta igualdad en el día a día, en el trato a sus semajantes, luchando en todos los campos que les sean posibles y dando la espalda a esta 'fiesta' propagandística del capital.

martes, 15 de febrero de 2011

Gürtel, PalmaArena, Merca Sevilla, Filesa, Malaya, Roldán, Palau de la música, Expo92'...

Como leí en su día: Contra la usura (y la corrupción), soga y mano dura.

sábado, 12 de febrero de 2011

El mañana nos pertenece

"¡Miradnos! ¡No estamos sofocados! ¡Nuestro corazón no siente la más ligera fatiga! ¡Está nutrido de fuego, de valor y de velocidad! ¿Esto os asombra? ¡Es que vosotros no os acordáis de haber vencido nunca! En pie sobre la cima del mundo arrojamos nuestro reto a las estrellas!"

Marinetti

miércoles, 9 de febrero de 2011

Franco era antifascista

A la mayoría se le llena la boca cuando se habla de franquismo y, de estos, los muchos, para darle mayor elocuencia a su análisis, no se olvidan de tacharlo de ‘fascista’. Pensaréis que me he vuelto loco al catalogar a Franco de antifascista. Esto, en gran parte, se debe a la asociación ‘fascismo-autoritarismo’ y de ahí, pensamos que Franco por ser autoritario tenía que ser, por ende, fascista. La verdad, análisis bastante pobre para toda persona que se considere mínimamente racional.

A donde yo quiero llegar es que, Franco, a pesar de su coyuntural alianza con el fascismo italiano y el nazismo alemán, de darle al Régimen una pomposidad filofascista los primeros años, le importaba un rábano el fascismo.

Otoño de 1936, José Antonio Primo de Ribera y Ramiro Ledesma Ramos son fusilados en apenas un mes de diferencia en verano ya había muerto Onésimo Redondo. Al de Ferrol le había tocado la lotería antes de tiempo ya que, como decía Julio Cesar ‘Nada es más fácil que censurar a los muertos’ aunque, en este caso, más que censurar, deberíamos hablar de manipular.

Serraño Suñer llegaría a decir:

‘Respecto al mismo José Antonio no será gran sorpresa, para los bien informados, decir que Franco no le tenía simpatía. Había en ello reciprocidad, pues tampoco José Antonio sentía estimación por Franco y más de una vez me había yo -como amigo de ambos- mortificado por la crudeza de sus críticas’

Y apelo al testimonio del ‘Cuñadísimo’ por no hacerlo al ‘vox populi’ ya que era y es sabida la animadversión mutua. Sin embargo, para suerte del Caudillo, José Antonio murió y no en un accidente de avión como Sanjurjo y Mola, si no a manos del ejército republicano lo que le convirtió en el gran mártir de la causa nacional o, mejor dicho, franquista. Tanto es así que fue enterrado en el Valle de los Caídos como si de un faraón se tratase. Vaya, lo mismo que hizo Stalin de Lenin.

Respecto a Ledesma Ramos, cofundador de las Juntas de Ofensiva Nacional Sindicalistas junto Giménez Caballero* (Gaceta Literaria), no fue elevado a la categoría de semi-Dios, es más, cayó en el olvido, pero su muerte permitió a Franco manejar a su antojo a las JONS. De tal forma que, dos años después de la escisión de estos con Falange Española, Franco las volvió a unificar, para más inri, junto a los requetés tradicionalistas.

Algunos pensarán que esta unión tiene mucho sentido, pero si atendemos al manifiesto de las JONS publicado en ‘La Patria Libre’ veremos que se califica el nacional-sindicalismo de Primo de Rivera como ‘un truco ingenuo, una ficción sin jugo’, ‘algo frívolo’, además de que mantener su apoyo a FE sería ser ‘cómplices de una farsa’. Pero, muerto Ledesma Ramos, seguramente el líder más carismático del nacional sindicalismo y el único que fue capaz de definir que era el ‘fascismo español’ con cierta coherencia, Franco hizo y deshizo a su antojo.

Con lo cual, en 1937 Franco mediante un decreto materializaba la unificación de Falange Española, las JONS y los tradicionalistas carlistas en la FET de las JONS. Si hacemos un análisis simplista ‘derechas-izquierdas’ no encontraremos nada ‘raro’ en esta simbiosis, si vamos más allá nos daremos cuenta que lo que Francisco Franco había hecho era crear un ‘Frankenstein político’. Además de unificar dos partidos no muy bien avenidos, hizo de dos formas políticas antagónicas una sola. Los que no estén muy familiarizados, les diré que es como si Marx y Bakunin hubiesen sido forzados a mantenerse unidos durante la I Internacional. Les diré más, las JONS era un partido revolucionario que ansiaba aunar lo social y lo nacional, mientras que el carlismo tradicionalista era, eso mismo, un partido tradicionalista monárquico que buscaba poco menos que volver al absolutismo decimonónico.

Pero el que durante 40 años fuese Jefe del Estado español no las tenía todas consigo, en el seno de FE aparecieron voces disidentes como la de Manuel Hedilla (líder de Falange tras la muerte de José Antonio) que se negó en rotundo a la unificación, ¿la respuesta? Hedilla fue detenido y condenado a muerte por conspirar contra Franco, condena que fue conmutada con el destierro a Canarias.

Vemos por lo tanto, como la afinidad de Franco con los dirigentes fascistas era más bien nula. El era un simple militarucho surgido de los confines de Marruecos y con aires de grandeza.

Con esto no intento ‘dulcificar’ el atroz régimen franquista ni la figura de su máximo dirigente, simplemente llamar a las cosas por su nombre. Si Franco hubiese sido realmente fascista, en la vida se le hubiese pasado por la cabeza esas unificaciones antinaturales, su único objetivo era erigirse dueño y señor de España a cualquier precio. Es más, decir que era antifascista no es tan descabellado pues con sus maniobras lo único que consiguió fue acabar con el fascismo genuino.

Ante eso, cabe preguntarse ¿podría tener miedo Franco de que el proyecto fascista comandado por Ledesma Ramos o el de José Antonio le terminara haciendo sombra? ¿unificar a tradicionalistas, jonistas, falangistas le sirvió para diluir la fuerza interna de estos grupos y así, tenerlos a su merced? Ahí dejo las preguntas...

Para concluir, decir que no es mi intención hacer apología de ninguna ideología, pero si a la gente le pica no hablar siempre de lo mismo, que se rasque.

Manifiesto de las JONS en ‘La Patria Libre’:

http://www.ramiroledesma.com/nrevolucion/lpln1a2.html

* La figura de Ernesto Giménez Caballero es interesante. Como ya he dicho, fue fundador de la Gaceta Literaria, una de las referencias culturales de la España de entonces, lo que le llevó a mantener constantes vínculos con Alberti, Lorca o Dalí, entre otros intelectuales de la época, para luego ser una de las primeras figuras públicas de España en mostrar su adhesión al fascismo. ¿Era tal la división de España? ¿Existía una tercera España? Estas cuestiones que serían interesantes de investigar.

lunes, 7 de febrero de 2011

Revisionismo puro y duro

Este humilde blog fue inaugurado ya hace un tiempo con una puesta en escena tan magnífica como la de Wikileaks. ¡Vaya estreno! Por cierto ¿sigue hablando alguien del ‘rarito’ ese? Las revoluciones árabes han impuesto su ley y han arrebatado el primer puesto de las exclusivas a las pataletas de Assange. No sabemos si el australiano ha decidido bajar la intensidad o directamente se ha aburrido de hacer el mono, lo que está claro es que debería aprender de unos que llevan la friolera de 66 años escenificando la mayor farsa de la historia, ¡casi nada!

Si, no hablo de otra pantomima que la de la II Guerra Mundial. Para nosotros, ciudadanos de los países democráticos y civilizados que velan constantemente por la paz mundial, se trató de una cruel guerra a la que un perturbado de origen austriaco nos empujó para satisfacer sus ansias megalómanas.

La pantomima empezó con Nuremberg. Algunos ‘expertos’ califican este ‘tribunal’ como un precedente para los posteriores tribunales internacionales de justicia, es decir, toda una referencia para las relaciones internacionales y la paz mundial. Nada más lejos de la realidad, en Nuremberg no se juzgaron causas criminales, sino políticas. Obviamente, los aliados no eran novatos en esto y como pretexto alegaron crímenes varios. Pero, si realmente hubiese sido un tribunal de justicia, en él se habrían sentado Churchill, Truman, el comandante Doolittle o SIR Arthur Travers Harris. Recalco lo de ‘sir’ porque cuando uno engrosa las filas del ejército vencedor, ser un genocida se recompensa con los máximos honores. No piense el lector que soy tan ingenuo como para pensar que los vencedores de una guerra van a sentarse ellos mismos en el banquillo de los acusados, simplemente pretendía darle la importancia que realmente tuvo: NINGUNA.

Pero, ¿qué causas políticas se juzgaron? Alemania, desde guerra franco prusiana seguía una línea ascendente que la llevó a plantar cara a las otras grandes potencias europeas, a saber, Francia y Gran Bretaña. Sin embargo, el capitalismo alemán no tenía nada que ver con el anglosajón que, hasta entonces, era el hegemónico. Y, además, en un principio, hasta bien entrado el siglo XX, Alemania no suponía un gran problema. Los Estados Unidos tenían en propiedad su continente, como decía Monroe, ‘América para los para los (norte) americanos’, mientras que Francia y Reino Unido ‘poseían’ África y Asia. Por su lado, Alemania, salvo contados territorios en África, era la potencia pobre de Europa. El pastel estaba repartido desde 1885.

Alemania era, como hemos visto, la potencia pobre, pero cuando fijó su mirada al este del Edén, osease, en el Este de Europa, la cosa cambió. Los que tengan nociones de historia sabrán que primero fueron los primos hermanos austriacos, luego los Sudetes y entre territorio y territorio, llegaron a Polonia. La paciencia de las naciones aliadas se había acabado en cuanto pisaron este país, Alemania acababa de pasar de ser una ‘potencial potencia’, valga la redundancia, a una potencia con todas las de la ley y, en consecuencia, se había adueñado de lo que ella pensaba que debía ser su Imperio, ¿acaso no hicieron lo mismo Francia y Reino Unido? ¿Por qué iba a tener menos derecho Alemania?

Es decir, el estado alemán fue sentado en el banquillo de los acusados por osar plantar cara a las naciones que se pensaban dueñas y señoras del mundo.

Pero, obviamente, esta obra no se mantiene 60 años en cartel como si nada. Para ello es necesario llevar a cabo una feroz campaña de control y manipulación social.

Uno de los primeros aspectos que destacamos es el antisemitismo. Parece ser que lo inventaron los alemanes y en consecuencia, poseen plenos derechos sobre la patente. Quién sabe, quizás por usarlo públicamente cobren derechos de autor, ya se sabe, Antisemitismo Marca Registrada.

Bromas aparte, se nos ha hecho creer durante décadas que los alemanes fueron los únicos que por sus venas corría odio al judío. Pero recordemos los progromos rusos (significa devastación o destrucción), en Francia, durante la IIIª República, la persecución mediática e incluso institucional encarnada en el ‘asunto Deyfruss’ y en España… Bueno, aquí no quedaban judíos a los que perseguir, de eso ya se encargó la magnánima y católica reina Ysabel. El antisemitismo no era nuevo en Europa, los alemanes simplemente se hicieron eco de un sentimiento ya existente en el Viejo Continente. Lo cual no es una justificación, ni mucho menos. Lo que si sería interesante y para lo que, desgraciadamente, no tengo los conocimientos suficientes para hacerlo, sería investigar en torno al trasfondo del odio histórico a los judíos en Europa.

Y sobrepasando los límites del Viejo Continente, en Palestina, también se vivieron progromos durante los años 20 y 30. Pero, mejor no lo digáis muy alto que si no, los del palestino y las greñas os tildan de sionistas.

Otro de los argumentos más esgrimidos es el Holocausto. No, no os preocupéis, no pienso negar lo que los nazis llaman ‘holocuento’. Pero, realmente ¿Qué hicieron los nazis que no se hubiese hecho antes?

Para responder a esta pregunta no debemos olvidar que sus contrincantes, los estadounidenses, venían acomodarse en las llanuras del oeste americano a costa de barrer a la población indígena que fue prácticamente esquilmada. Les expulsaron de sus casas, destrozaron su cultura, casi los aniquilan y a los pocos que sobrevivieron, los agruparon en reservas. ¿No les suena? Y tampoco estamos hablando de que esto sucediera en la Edad Media, pues parece que si tiene lugar en épocas remotas es más dado a prescribir. No olvidemos que la conquista del oeste terminó a finales del siglo XIX, es decir, no hay más de 50 años desde diferencia con el Holocausto. Por su lado, las potencias colonizadoras europeas se adueñaron de África y Asia, donde se mató, esclavizó y condenó a muerte a un continente entero que lleva sufriendo la friolera de 200 años seguidos y los franceses, que tan víctimas se han sentido de la ocupación, luego olvidaron la compasión humana con el casi medio millón de argelinos que mataron. Y ya, que los demócratas son tan amigos de las cifras, estaría bien saber las víctimas que ha causado la colonización, tanto directa como indirectamente.

Siguiendo con la escenografía, uno de los aspectos mejor conseguidos es el mito creado entorno a los ghettos como, por ejemplo, el de Varsovia. Pero ¿por qué lo mitificaron? Si estadounidenses y canadienses no se debieron sorprender nada cuando ‘descubrieron’ la que tenían montada los nazis, es más, ellos ya tenían sus ‘‘reservas’’ donde los pocos indios que no habían muerto vivían ahogados por el alcoholismo, la miseria y otras ventajas del estado de bienestar, por no hablar de los esquimales del norte de Canadá cuya situación era y es, aún a día de hoy, igual o peor. Y, me pregunto yo, ¿qué pensaría Rosa Park cuando ‘su gobierno’ bombardeaba salvajemente ciudades enteras en Europa en nombre de la libertad y ella por no poder, no podía sentarse ni en un autobús? Y quien dice Rosa Parks, dice cualquier afroamericano. Si, de esos que no empezaron a tener derechos hasta 10 años después del fin de la IIª guerra mundial. Y digo 10 años, porque el activismo de los Luther King y compañía comenzó a partir del 55. Es decir, que una década más tarde de que los salvadores volvieran de Europa, los negros en Estados Unidos eran poco más que perros.

Y ya, por último, desde una perspectiva más jocosa, podríamos decir que robaron arte. Cuantos belgas u holandeses no habremos visto que consiguen, después de años, recuperar sus obras de arte que les fueron arrebatadas a manos de los nazis. Que alguien vaya al Museo Británico. Si eso no es la viva representación del expolio, que venga Dios y me lo diga.

Pero, lo peor de todo esto, no es tanto que se acuse de ciertas cosas unicamente a unos. Lo jodidamente terrible es que los aliados, desde su posición de vencedores y salvadores, silenciaron y silencian sus propios genocidios durante la II Guerra Mundial.

Porque, ¿qué pasó en Dresden*? ¿o en los foibe** en Istria? ¿o en Hiroshima? ¿o donde fueron hacinados los japoneses que vivían en EEUU tras la II GM? Son estas, algunas de las muestra de que las tropas aliadas no tenían miramientos a la hora de masacrar con extrema crueldad a población civil (niñas, niños, personas mayores, mujeres, hombres…) y, encima, si alguien osa recordar a los muertos de estas masacres o, mismamente, no se conforma con las cifras maquilladas de las potencias aliadas, es automáticamente considerado nazi o fascista. Por no hablar de que sucesos como los foibe, por poner un ejemplo, han sido silenciados durante décadas los países donde tuvieron lugar, en este caso, en Italia. Pero, ¡oye! Que alguien ponga en duda el Holocausto, con suerte, no va a la cárcel.

Entonces, después de toda esta verborrea pedante ¿qué diferencia a los unos de los otros? Sencillo, además de que unos perdieron la guerra y otros la ganaron, lo cual es bastante importante ya que en función a esta relación se asignan los papeles de malos y buenos, los alemanes fieles a su mentalidad metódica y perfeccionista, no lo dudaron, institucionalizaron y planificaron detalladamente la aniquilación de un pueblo entero. El estilo de los aliados era distinto, pero no menos bárbaro y cruel, ellos masacran lentamente, segregan y marginan racialmente o fundan el KKK y condenan a una muerte lenta a aquellos que caen en sus garras.

Pero, como nunca llueve a gusto de todos, hay quien dice que no es comparable, que planificar desde el mismo Estado la aniquilación de un pueblo entero sienta un precedente y es lo que hace al Holocausto nazi único e incomparable. Si, la verdad es que pone los pelos de punta que un estado sea capaz de llevar a cabo tal empresa, pero a mí, personalmente, me da absolutamente igual. Son burdas excusas para intentar dar un mayor peso a lo que hizo el nacional socialismo y restárselo a lo que hicieron los aliados.

Por otro lado, desconozco si las victimas aliadas (entre indios, colonización, masacres durante la guerra mundial…) superará cuantitativamente a los 6 millones de judíos asesinados pero, ¿desde cuando matar a 2 millones de personas (por poner una cifra) es mejor que matar a 6 millones?

En resumen, llevamos más de 60 años viviendo una de las mayores mentiras sobre la cual están sustentados gran parte de los pilares del orden político-social actual. Luego tienen la desfachatez de considerarse moralmente superiores a lo que según ellos no respetan el ‘juego democrático’. Pero, ya vemos cual es su juego…

Pd. A uno que escribe estas lineas, aunque no lo parezca, le repugna el racismo, la xenofobia y cualquier tipo de comportamiento que suponga el sufrimiento de un ser humano inocente. Luego los hay que son tan inocentes, pero bueno, esos ya tendrán lo suyo... Si Dios quiere...

Soga para los demócratas, verdedero cáncer de la humanidad



* Aquí os dejo el link a un pequeño post que hice en un antiguo blog sobre los bombardeos de Dresde http://lainfamiaporbandera.blogspot.com/2010/05/dresde-la-impunidad-del-vencedor.html

** Y aquí un blog en el que comentan lo que fueron los Foibe. El blog en cuestión no es de mi agrado, pero la verdad, salvo algunas personas, nadie denuncia estos crímenes.

http://unavozcontraelviento.wordpress.com/2010/02/10/10-de-febrero-dia-del-recuerdo-a-los-italianos-asesinados-en-las-foibe/


martes, 1 de febrero de 2011

Frase

Después de una semana y pico bastante intensa, retomo -aunque no se por cuanto tiempo- este inconstante hábito. Para ello, os dejo un par de frases extraídas de Los trabajos del infagable creador Pío Cid.

' Soy español nada más, y no me asusto de que abramos las puertas de par en par a todas las ideas, vengan de donde venga. Lo que no me parece bien es que perdamos nuestra personalidad y seamos imitadores serviles.'

viernes, 21 de enero de 2011

Soria

No entiendo a aquellos que piensan que entre estas cuatro paredes no hay mundo por ver, cuando tenemos joyas increíbles, de todos los tipos y de todos los colores.

En este caso, Soria. Aunque, viéndolo de otra manera, así no corremos el riesgo de que provincias increíbles como esta, se masifiquen y pierdan su encanto. Os dejo un poema de Machado y os recomiendo algunas de las leyendas de Bécquer, ambientadas en parajes como la Laguna Negra. Aunque, personalmente, yo soy más de la Soria árida y mesetera.


¡Soria fría, Soria pura,
cabeza de Extremadura,
con su castillo guerrero
arruinado, sobre el Duero;
con sus murallas roídas
y sus casas denegridas!

¡Muerta ciudad de señores
soldados o cazadores;
de portales con escudos
de cien linajes hidalgos,
y de famélicos galgos,
de galgos flacos y agudos,
que pululan
por las sórdidas callejas,
y a la medianoche ululan,
cuando graznan las cornejas!

¡Soria fría! La campana
de la Audiencia da la una.
Soria, ciudad castellana
¡tan bella! bajo la luna.




Por no hablar del Duero...





















El Duero cruza el corazón de roble
de Iberia y de Castilla.
¡Oh, tierra triste y noble,
la de los altos llanos y yermos y roquedas,
de campos sin arados, regatos ni arboledas;
decrépitas ciudades, caminos sin mesones,
y atónitos palurdos sin danzas ni canciones
que aún van, abandonando el mortecino hogar,
como tus largos ríos, Castilla, hacia la mar!

martes, 18 de enero de 2011

Acertijo

Nada, un chiste-acertijo un poco malo...

En algún momento entre el año 1900 y 1950, un importante personaje español le dice a otro:

¡Qué hipo! Pásame el agua, por favor.

¿quién se dirige a quién?

Venga, es fácil jajajaja Quien lo adivine...diría que le daba algo, pero tal y como esta la economía.

lunes, 17 de enero de 2011

Alfonso X




















Gloria, honra y respeto a nuestra lengua...

36 años son suficientes

Desde 1974, el Ejército de Turquía mantiene ocupado el norte de la isla de Chipre. Esta ocupación supuso, además, la expulsión de 200.000 grecochipriotas (1/3 del total de la población chipriota en 1974), que vivían en esta zona del país y la desaparición de 2.000 personas.

¡Basta ya de silenciamiento! ¡Fuera Turquía de Chipre!

Parece ser que cuando los pueblos cristianos son ocupados por musulmanes, nadie dice nada.

A la mierda lo politicamente correcto...




domingo, 16 de enero de 2011

Continúa la pantomima

http://www.elpais.com/articulo/reportajes/Somos/Anonymous/elpepusocdmg/20110116elpdmgrep_1/Tes

viernes, 14 de enero de 2011

Élites

Recientemente fueron a parar a mis ojos un puñado de páginas que formaban parte de un capítulo de La Rebelión de las Masas de Ortega, más concretamente, de uno que el autor madrileño bautizó como ‘Vida noble y vida vulgar, o esfuerzo e inercia’.

Gasset da un nuevo sentido a la nobleza, rehúsa de considerar nobles a aquellos que por herencia e inercia les es transmitido este título y plantea que noble es aquel que por esfuerzo propio se lo gana. Como él mismo señala, ‘Para mí, nobleza es sinónimo de vida esforzada, puesta siempre a superarse a sí misma, a trascender de lo que ya es hacia lo que se propone como deber y exigencia.’

Esta lectura despertó en mis varias reflexiones, entre ellas, una acerca del ‘elitismo intelectual’ que, ¿por qué no? Podría ser una forma de apelar a lo que Ortega y Gasset denomina ‘vida noble’.

Debería tratarse de un imperativo para toda persona, digna de serlo, aspirar a esta nobleza.

Al respecto, no cabe duda, es tarea del hombre o mujer de acción, la de depurar todo aquello que huela a mediocridad. Desmarcarse de la masa, de lo vulgar, del espíritu débil, de quienes muestran desprecio por el conocimiento y, por supuesto, desconfiar de ellos. Con firme determinación y entereza, como si de un cirujano se tratase, ha de amputar el miembro putrefacto y deshacerse de él, sin miramiento alguno.

Además, debe saber identificar al charlatán, el que conoce pero no crea. Ese individuo que únicamente almacena datos en su cerebro como si de materia inerte se tratara. Sujeto desconocedor de que lo inerte termina por pudrirse y lo que se encuentra en este estado es porque muerto está.

Marciare per non marcire...

jueves, 13 de enero de 2011

Al mal tiempo...

Al final, han conseguido que uno que escribe estas líneas se marche de mala hostia a dormir. Para cortar el hielo, un chiste un poco estúpido, a mi estilo*... ¿Quién era más futurista Ridley Scott o Marinetti?

Quien me conoce, sabe que para cuestiones humorísticas nací con poca (o ninguna) gracia





¿Por qué no votar?

Votar, aunque sea en blanco, supone aceptar las reglas del juego. Un juego, en el que todos y cada uno de nosotros salimos perjudicados.

Por eso, NO VOTES.

Todos te lo agradeceremos...

lunes, 10 de enero de 2011

Localismo y otras ideas

Frente a la globalización, cáncer del mundo y las naciones, una respuesta es el localismo. Es decir, consumir productos de tu entorno geográfico más próximo, en la medida de lo posible.

En lo que a comida se refiere, como es obvio, intentar consumir alimentos que se produzcan en áreas próximas a la ciudad donde se viva. De esta manera, favoreceremos la economía local y reduciremos la contaminación al evitar que ingentes cantidades de alimentos sean transportados, en ocasiones, miles de kilómetros, con lo que ello supone.

En consecuencia, dejaremos de tomar muchos alimentos que no son imprescindibles para nuestra dieta o, que si lo son, son sustituibles por otros más próximos. La cuestión no es eliminar las frutas y las verduras, por poner un ejemplo, simplemente que si en vez de un pomelo o una papaya (de origen tropical), hay que comer otro tipo de fruta más natural a tu entorno, no pasa nada. O mismamente, estableciendo un símil con el pescado, si tienes que comer sardinas porque en tus costas no hay salmón, lo mismo. Esto, además, serviría para recobrar cierta identidad respecto al medio que nos rodea.

No es una negación a lo 'ajeno', no hay problema por comer cosas 'exóticas' de vez en cunado, pero no como norma y siempre intentando que sea con productos cultivados 'en casa'. Esta propuesta responde unicamente el deseo de preservar nuestra cultura gastronómica, parte también de nuestra identidad como pueblo y que muchas veces es reflejo de la idiosincrasia de este. Además de evitar, gracias a la globalización, que esta cultura se pierda en el tiempo. Aunque, uno que escribe, reconoce que a veces le es dificil evitar comer 'cualquier cosa' por el estilo de vida que se nos impone.

Volviendo sobre nuestros pasos y siendo sinceros, lo ideal sería que cada región, organizada en comunas, pequeñas comunidades o como demonios se prefiera llamar, se pudiese abastecerse de lo producido en la zona. Para ello, claro está, habría que cambiar muchos aspectos que van desde el estilo de producción (producir para consumir y no para especular), evitar la especialización de los cultivos, la construcción incontrolada o, incluso, que el campo gane terreno a aquellas zonas donde se edifica gratuitamente. Intentar cierta ‘involución’.

Otro aspecto interesante, sería el consumo de carne. Reducirlo, que no suprimirlo, repercutiría positivamente en tanto y cuanto mejoraría nuestra calidad de vida –muchas veces comemos carne en exceso- y, de igual manera, gran cantidad de materias primas que son destinadas a alimentar al ganado en masa, podrían ser utilizados para alimento humano. Por establecer una comparación, si se utilizan 200kg de X materia prima, pongamos trigo, para alimentar a cualquier animal, este produce únicamente 20kg de carne. No se si las equivalencias son correctas, pero para que nos hagamos una idea.

Aunque supone desviarse un poco del tema, esto viene a entroncar con la cuestión del hambre. Se estima que nuestro planeta puede dar de comer a la población mundial actual con suficiencia e, incluso, si esta fuera mayor, entre 2.000 y 3.000 millones de personas más. ¿Dónde está el problema? En muchas ocasiones se tiran excedentes para que así los precios no sean demasiado bajos y reporte beneficios, en otras se dedica excesivamente el terreno cultivable para producir alimentos que suponen un mayor beneficio económico que otros, la especulación con productos como el maíz o el arroz que son destinados a la producción de biodiesel -el combustible del futuro- , etc. Aunque no se hasta que punto es real eso de que nos sobrealimentamos, gran parte de la culpa del hambre, es del sistema capitalista actual. No es cuestión de capacidad planetaria, más bien de voluntad política y económica.

Volviendo al tema del localismo, en lo referente a aquello que va más allá de la alimentación, la misma fórmula. Sin embargo, en este plano es mucho más difícil llevar a cabo nuestros propósitos ya que la globalización ha generado fenómenos como la deslocalización y ha desprovisto a muchos países de los medios necesarios para producir su propio género, por no hablar de aquellos que nunca los tuvieron.

Como en el caso anterior, deberíamos exigir que lo que se consume en este país se produzca en este país y, por supuesto, que se produzca para el país, no para la usura. Para ello, de nuevo, habría que cambiar muchas cosas en la economía nacional, los modos de producción, el sistema económico en si, además de planificar, proveer a la nación de las infraestructuras necesarias… El problema es que muchos productos ya no se fabrican aquí y por ello, nos vemos obligados a comprar de otros países.

Para aquellas regiones en las que falten materias primas para fabricar algún bien, se establecerían sistemas de mutualismo o intercambio de bienes y servicios en función de la necesidad de cada país. Sistema el mutualista que, por supuesto, se podría aplicar al plano de los individuos. Al respecto, cabe destacar la obra de Proudhon...

En general, pido perdón si he metido la pata con alguna propuesta. No soy un experto en el tema, ni mucho menos, y tampoco se trata de un análisis exhaustivo de ninguna teoría económica concreta, son simples esbozos de una idea. Personalmente, a pesar de lo poco que se y en función a mi forma de pensar, el localismo y mutualismo se estilan como formas coherentes y sostenibles a la hora de hablar de las relaciones de producción de aquí a un futuro a largo plazo. Eso si, para ello se precisa un cambio revolucionario…

domingo, 9 de enero de 2011

Ángel Ganivet


















En la España de hoy, falta hacen pensadores como él.


Aquí os dejo un enlace a una página web donde podréis leer la correspondencia que compartió con su amigo Unamuno y que fueron publicadas en 'El defensor de Granada' allá por 1898.

http://www.ensayistas.org/antologia/XIXE/ganivet/index.htm


sábado, 8 de enero de 2011

El circo mediático

En el recién finiquitado año, hemos asistimos a una de las puestas en escena más brillante jamás vista en la historia. Riámonos de las interpretaciones estelares de Al Pacino en El Padrino o de una que, personalmente, me encantó, Philip Seymour dando vida a Capote, ya que les ha surgido dura competencia. El actor principal, un australiano con apariencia pseudo excéntrica que responde al nombre de Julian Assange y ha sido encumbrado a una categoría casi mesiánica. Como actores de reparto, la Comunidad Internacional al completo y al servicio.

Ha sido, para muchos, la noticia del año, el escándalo del año o ¿quizás del siglo? Pero si lo pensamos detenidamente, ¿qué aspectos nuevos han aportado? Que un estado que aspira a mantener la hegemonía militar y económica mata, tortura, engaña, espía… Si y la bombilla la inventó Edison en 1879…

Pero lo más espectacular, amén de la actuación de Assange, ha sido la de los medios de comunicación. Desde que soy pequeño, bien es sabido que quien paga manda…

¿Pensábamos que los medios de comunicación al servicio del capital iban a dar publicidad a algo que si quiera cuestionase el poder establecido? Ya se sabe que no debemos morder la mano de quien te da de comer y, por supuesto, los ‘mass-media’ no han sido menos.

Para finalizar, una analogía, y perdonen si esta deslustra este puñado de palabras, pero podríamos decir que Avatar es al cine, lo que Assange a la política. Un escenario del que se ha trabajado hasta el mínimo detalle, pero un argumento más que visto… Cortinas de humo lo llaman.

Como dice el Antiguo Testamento, fuente eterna de sabiduría –mal les pese a muchos ateos- ‘nada nuevo bajo el sol’.


El Quijote disidente

Otra vez, inquietudes y reflexiones varias, me han llevado a dar a luz este nuevo blog. Como con cualquier neonato, nadie sabe cuan longeva e incesante será su vida, por lo tanto, os animo a que sigáis su lenta agonía y quizás, os llevéis alguna sorpresa.

El nombre, no necesita explicaciones...